Pourquoi le sport est-il utile pour notre cerveau?
En Amérique, 78% des gens pratiquent divers sports régulièrement pour de simples raisons comme améliorer leur santé ou pour s'amuser. Mais qu'en est-il de l'effet du sport sur notre cerveau? Le texte suivant parlera de ce qui se passe dans notre cerveau lors d'une activité physique et comment celle-ci peut renforcer la mémoire.
Premièrement, le sport et l'entraînement favorisent non seulement notre santé physique, mais aussi notre santé mental, comme dit l'article du huffingspot: <<le sport permet de stimuler les fonctions cérébrales.>>Lors d'une activité physique, notre cerveau produit une protéine dite neurotrophique, nommé le BDNF (brain-derived neurotrophic factor), qui favorise la mémorisation et renforce l'acuité mentale. Le cerveau reçoit également des signaux nerveux en réponse à des stimulations chimiques et électriques qui sont envoyées aux différents organes du corps. Les nerfs sont d'une telle capacité, lorsqu'ils sont sollicités, qu'ils réussissent à se développer et à s'adapter. Par exemple, les séances d'entraînement deviennent de plus en plus faciles au fil des jours tout comme les activités de mémorisation et d'apprentissage. Toutefois, notre cerveau, étant fragile, il est vital d'en prendre soin, car des terminaisons nerveuses endommagées ne se régénèrent jamais totalement. L'augmentation du flux sanguin peut aussi bénéficier au cerveau, puisque ses cellules vont immédiatement fonctionner à un niveau plus élevé. Il y a aussi des endorphines sécrétées, connues sous le nom d'hormones du bonheur, qui aident à atténuer le stress ainsi que la douleur causée par la dépression.
Deuxièmement, la pratique du sport est une très bonne façon d'entraîner nos neurones. En fait, l'exercice physique tient un rôle indispensable pour notre mémoire motrice qui aide à la performance, la concentration, la vigilance, l'anticipation et aux prises de décisions. Inconsciemment, durant une partie de soccer par exemple, tous ces critères sont pratiqués à répétition. Le sport peut aussi donner une plus grande résistance à la maladie d'Alzheimer, c'est-à-dire la maladie du tissu cérébral qui mène à la perte progressive et irréversible de la mémoire, en ralentissant la perte de notre savoir. Le sport peut également aider à la protection d'obtenir la maladie de Parkinson, une maladie neurologique chronique dégénérative, affectant le système nerveux central responsable des troubles moteurs d'évolution progressive. Bref, en bougeant, tu entraînes ton cerveau et tu peux prévenir quelques maladies.
Pour conclure, l'amélioration de la santé et le plaisir restent, en effet, les plus grands motifs de décisions pour commencer à pratiquer un sport. Toutefois plusieurs autres facteurs au niveau cérébral peuvent résulter positivement après la pratique d'une activité physique. Ceci amène un questionnement: le sport peut-il être influant sur d'autre partie du corps autant qu'il l'est pour notre cerveau?
Premièrement, le sport et l'entraînement favorisent non seulement notre santé physique, mais aussi notre santé mental, comme dit l'article du huffingspot: <<le sport permet de stimuler les fonctions cérébrales.>>Lors d'une activité physique, notre cerveau produit une protéine dite neurotrophique, nommé le BDNF (brain-derived neurotrophic factor), qui favorise la mémorisation et renforce l'acuité mentale. Le cerveau reçoit également des signaux nerveux en réponse à des stimulations chimiques et électriques qui sont envoyées aux différents organes du corps. Les nerfs sont d'une telle capacité, lorsqu'ils sont sollicités, qu'ils réussissent à se développer et à s'adapter. Par exemple, les séances d'entraînement deviennent de plus en plus faciles au fil des jours tout comme les activités de mémorisation et d'apprentissage. Toutefois, notre cerveau, étant fragile, il est vital d'en prendre soin, car des terminaisons nerveuses endommagées ne se régénèrent jamais totalement. L'augmentation du flux sanguin peut aussi bénéficier au cerveau, puisque ses cellules vont immédiatement fonctionner à un niveau plus élevé. Il y a aussi des endorphines sécrétées, connues sous le nom d'hormones du bonheur, qui aident à atténuer le stress ainsi que la douleur causée par la dépression.
Deuxièmement, la pratique du sport est une très bonne façon d'entraîner nos neurones. En fait, l'exercice physique tient un rôle indispensable pour notre mémoire motrice qui aide à la performance, la concentration, la vigilance, l'anticipation et aux prises de décisions. Inconsciemment, durant une partie de soccer par exemple, tous ces critères sont pratiqués à répétition. Le sport peut aussi donner une plus grande résistance à la maladie d'Alzheimer, c'est-à-dire la maladie du tissu cérébral qui mène à la perte progressive et irréversible de la mémoire, en ralentissant la perte de notre savoir. Le sport peut également aider à la protection d'obtenir la maladie de Parkinson, une maladie neurologique chronique dégénérative, affectant le système nerveux central responsable des troubles moteurs d'évolution progressive. Bref, en bougeant, tu entraînes ton cerveau et tu peux prévenir quelques maladies.
Pour conclure, l'amélioration de la santé et le plaisir restent, en effet, les plus grands motifs de décisions pour commencer à pratiquer un sport. Toutefois plusieurs autres facteurs au niveau cérébral peuvent résulter positivement après la pratique d'une activité physique. Ceci amène un questionnement: le sport peut-il être influant sur d'autre partie du corps autant qu'il l'est pour notre cerveau?
La quête d'un mathématicien
Il y a fort longtemps, dans le fin fond de la Grèce, vivait un mathématicien qui dévorait l’idée de connaître l’inconnu. Il était reconnu pour son expertise sur ses découvertes et explorations, mais plusieurs personnes ne comprenaient guère ses théories. Un jour, voulant bien faire, il voulu trouver une façon d’améliorer l’intelligence humaine pour que tout le monde soit au même niveau lui permettant de transmettre ses connaissances. Pour se faire, il décida de se rendre au sommet de la plus haute montagne où se trouvait le temple des Dieux pour leur demander de l’aide.
Sur son chemin, il rencontra une jolie dame et lui expliqua la raison de sa quête. Celle-ci lui répondit que les Dieux, même avec un pouvoir aussi puissant ne pouvait pas en aucun cas changer des individus pour de simples raisons tels que des mathématiques. ‘’Nous sommes qui nous sommes’’, dit-elle. Il décida tout de même de continuer sa route et tenter sa chance auprès des Dieux.
Rendu sur la haute montagne, il n’en croyait pas ses yeux, le temple était si grand, éclairé et luxueux. Il se sentait si petit mais prit son courage à deux mains et rentra. Par sa grande surprise, une hydre de Lerne se trouvait juste devant lui. Il était trop tard pour retourner en arrière car les portes s’étaient refermées et la poigné avait disparue. Au loin il pouvait apercevoir une épée. Il courut plus vite que l’éclair prit l’épée et s’est lancé au combat. Après une lutte exaspérante, il comprit que son épée était d’aucune aide étant donné que chaque fois qu’on coupait une tête de la bête deux autres en repoussaient. C’est alors qu’une petite fiole apparut, il la prit et la lança de toute s’est force par pure réflex et comme par magie, le monstre s’est transformé en un homme mais pas n’importe lequel, c’était Héraclès.
Héraclès fut le premier à prendre la parole et le félicita. Le mathématicien avait fait preuve de force mais aussi de ruse en utilisant le chemin le plus facile et lui dit que parfois il faut accepter que notre force physique n’est pas le seul moyen pour accomplir quelque chose et il faut en entreprendre un autre. La plupart des gens cherchent trop à montrer qu’ils sont les plus forts, mais le mathématicien et c’est pour cela qu’il le laissa passer pour aller voir le Conseil de Dieux. Cependant, il y avait un autre obstacle à affronter. Cette fois-ci, c’était un labyrinthe et il n’avait qu’une seule chance pour choisir celui qui l’amènerait à sa destination. Il prit une grande inspiration et continua son chemin.
Malheureusement, il avait pris la mauvaise voie, mais un coffret se trouvait au bout du passage. Le mathématicien l’ouvrit et y trouva un parchemin. Dessus se trouvait un message disant ; Je connais la raison pour laquelle tu es venu jusqu’ici mais je ne peux rien faire pour toi, toutefois je peux te révéler un secret; l’activité physique améliore la concentration du cerveau et peut pourrait bien t’aider, toi et ton village. Sur une dernière note, je voudrais te laisser savoir qu’on ne peut pas changer les capacités de quelqu’un, il en est impossible je suis désolé mais une personne est qui elle est, tout le monde est différent, mais je suis sûr que tu le savais déjà.
En effet, le mathématicien le savait mais il voulait tout de même essayer, car oser quelque chose n’a jamais tué personne…enfin sauf si une hydre de Lerne se trouve sur votre passage. Il retourna à son petit village et ouvrit une école qui éduquait les enfants aux mathématiques mais en y incluant bien sur des séances de sport.
Sur son chemin, il rencontra une jolie dame et lui expliqua la raison de sa quête. Celle-ci lui répondit que les Dieux, même avec un pouvoir aussi puissant ne pouvait pas en aucun cas changer des individus pour de simples raisons tels que des mathématiques. ‘’Nous sommes qui nous sommes’’, dit-elle. Il décida tout de même de continuer sa route et tenter sa chance auprès des Dieux.
Rendu sur la haute montagne, il n’en croyait pas ses yeux, le temple était si grand, éclairé et luxueux. Il se sentait si petit mais prit son courage à deux mains et rentra. Par sa grande surprise, une hydre de Lerne se trouvait juste devant lui. Il était trop tard pour retourner en arrière car les portes s’étaient refermées et la poigné avait disparue. Au loin il pouvait apercevoir une épée. Il courut plus vite que l’éclair prit l’épée et s’est lancé au combat. Après une lutte exaspérante, il comprit que son épée était d’aucune aide étant donné que chaque fois qu’on coupait une tête de la bête deux autres en repoussaient. C’est alors qu’une petite fiole apparut, il la prit et la lança de toute s’est force par pure réflex et comme par magie, le monstre s’est transformé en un homme mais pas n’importe lequel, c’était Héraclès.
Héraclès fut le premier à prendre la parole et le félicita. Le mathématicien avait fait preuve de force mais aussi de ruse en utilisant le chemin le plus facile et lui dit que parfois il faut accepter que notre force physique n’est pas le seul moyen pour accomplir quelque chose et il faut en entreprendre un autre. La plupart des gens cherchent trop à montrer qu’ils sont les plus forts, mais le mathématicien et c’est pour cela qu’il le laissa passer pour aller voir le Conseil de Dieux. Cependant, il y avait un autre obstacle à affronter. Cette fois-ci, c’était un labyrinthe et il n’avait qu’une seule chance pour choisir celui qui l’amènerait à sa destination. Il prit une grande inspiration et continua son chemin.
Malheureusement, il avait pris la mauvaise voie, mais un coffret se trouvait au bout du passage. Le mathématicien l’ouvrit et y trouva un parchemin. Dessus se trouvait un message disant ; Je connais la raison pour laquelle tu es venu jusqu’ici mais je ne peux rien faire pour toi, toutefois je peux te révéler un secret; l’activité physique améliore la concentration du cerveau et peut pourrait bien t’aider, toi et ton village. Sur une dernière note, je voudrais te laisser savoir qu’on ne peut pas changer les capacités de quelqu’un, il en est impossible je suis désolé mais une personne est qui elle est, tout le monde est différent, mais je suis sûr que tu le savais déjà.
En effet, le mathématicien le savait mais il voulait tout de même essayer, car oser quelque chose n’a jamais tué personne…enfin sauf si une hydre de Lerne se trouve sur votre passage. Il retourna à son petit village et ouvrit une école qui éduquait les enfants aux mathématiques mais en y incluant bien sur des séances de sport.